Sous le jasmin jauni du Japon...
Juria, Jitsuko, Juichiro, Jinko et Jinta jouissaient de leurs jeux de jeunesse jusqu’à ce jeudi de Juin. Jouvencelles et jouvenceaux jargonnent sous le jasmin jauni du Japon.
Jeux, jouets, jupes, jupons, jantes, jaquettes, japonaiseries jonchent la jetée.
Des jaquettes dans leur jet-set jacassent. Les jeunes, tels des judokas, les jaugent avec justesse : des jean-foutre. Ils leurs jappent des jurons juteux.
Jadis jalonnés de joncs, jacinthes, jonquilles, leur jardin est en jachère. Jamais ils n’avaient jugé leur Japon jalonné par des jaillissements de JT-60. Sous le joug des JT-60, leur joyau « Japon » jongle avec les juges, les jurés pour juguler la joute entre juristes et jobards. Les journalistes, joviaux, jubilent dans leur jargon. Leur journal sera juteux. Ce jour là le Jack pot est le Japon. Le jour J+1 sera Jaitapur…
Juchés sur leurs jérémiades, les juniors jactent et jurent que le Japon joutera jusqu’au bout les jerricans de JT-60.
Kenji Yoshida
Artiste de l’âme, de renommée internationale Kenji Yoshida, est né au Japon en 1924, Yoshida a passé la plupart de sa vie à Paris. Yoshida est décédé en Janvier 2009. Son ami José Ferez dit de lui: «Toutes les œuvres de Yoshida proviennent de ses visions internes. Ses tableaux ont tous à voir avec le concept japonais de Seimei, l'acte de vivre. Son travail se tourne vers l'essence de la vie, c'est pourquoi il est si dramatique. Il travaille de ses propres formes, ses propres images, ce qu'il voit dans ses méditations, de l'intérieur. "
LN